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Hugo Rafael Chávez FrÃas, né le 28 juillet 1954 à Sabaneta dans les llanos, au sud du Venezuela, est le président du Venezuela depuis le 2 février 1999.
Débuts
Fils de Hugo de los Reyes Chávez et d'Elena FrÃas de Chávez, tous deux enseignants, il a quatre enfants (Rosa Virginia, MarÃa Gabriela, Hugo Rafael et Rosinés). Il a été marié deux fois et est actuellement séparé de sa seconde épouse.
Dans sa jeunesse, ses parents décident de l'envoyer à l'Académie militaire du Venezuela qu'il quitte avec le diplôme de Sciences et Arts militaires. Il étudie également la science politique à l'université Simón BolÃvar de Caracas en 1989-1990, et obtient sa maîtrise.
Le 24 juillet 1983, lors de la journée du 200 anniversaire de la naissance du Libertador (Libérateur) du Venezuela et des autres colonies espagnoles d'Amérique du Sud, Simón BolÃvar, Chávez crée, au sein de l'armée, le Movimiento Bolivariano Revolucionario 200 (Mouvement révolutionnaire bolivarien 200, MBR-200) d'orientation socialiste.
Les coups d'État manqués (1992)
Le 4 février 1992, le MBR-200, avec à sa tête Hugo Chávez, tente un coup d'État contre le président Carlos Andres Perez. Le putsch prend pour nom « opération Ezequiel Zamora ». Cette tentative échoue, et Chávez est emprisonné pendant deux ans, épreuve à laquelle il se réfèrera en évoquant « la prison de la dignité ». Lors de son séjour carcéral, il enregistre une vidéocassette dans laquelle il appelle à l'insurrection. Elle est diffusée vers 4 heures du matin dans la nuit du 26 au 27 novembre 1992, lors d'un deuxième coup d'État préparé par le MBR-200. La deuxième tentative avorte également, après que les membres du MBR-200 aient tout de même pris le contrôle du pays pendant quelques minutes.
En 1994, Rafael Caldera est élu pour la deuxième fois au Venezuela. Réalisant une de ses promesses politiques faites avant d'être élu, il ordonne la libération de Chávez.
C'est à cette époque que Chávez fait la connaissance, par l'intermédiaire des Carapintadas (qui étaient en contact avec plusieurs des membres du MBR-200), de l'idéologue argentin négationniste Norberto Ceresole, qui fera partie de son entourage jusqu'en 1999 et sera finalement contraint de quitter le Venezuela au terme d'une importante polémique.
La présidence de Hugo Chávez
Première élection à la tête du Venezuela (1998)
Une fois libéré, Chávez crée un parti politique nommé « Movimiento Quinta República, MVR » (Mouvement cinquième république), une version civile du MBR-200. C'est à la tête de ce parti qu'il prendra le pouvoir, quatre ans plus tard. En 1998, année de deux élections (législatives et présidentielle), sa cote dans les sondages augmente progressivement (30% en mai, 39% en août). Le slogan de la campagne électorale de Chávez le proclame « fléau de l'oligarchie et héros des pauvres ». La coalition de partis de gauche, rassemblée autour du MVR, remporte 34% des sièges du Congrès national lors des élections législatives du 8 novembre 1998. Les deux partis Action Démocratique et COPEI qui s'étaient jusqu'alors partagés le pouvoir n'obtiennent ensemble que 9% des voix. Chávez sort ensuite victorieux de l’élection présidentielle de 1998 avec 56% des voix, la plus grande majorité à l’élection présidentielle depuis 40 ans au Venezuela.
Le 2 février 1999, Chávez prête serment sur une constitution qu'il qualifie de moribonde, et promet un référendum afin de former une nouvelle Assemblée constituante. Il annule également le défilé militaire qui accompagne habituellement cette cérémonie, voulant ainsi illustrer la soumission de l'armée aux autorités civiles. Il est par contre remis au 4 février, date anniversaire de sa première tentative de coup d'État.
Le 25 avril de la même année, 80% des participants au référendum acceptent la formation d'une nouvelle Assemblée constituante, assortie d'une promesse d'élection générale, comprenant le poste de président, pour l'année 2000. Le faible taux de participation (40% des inscrits) illustre le peu d'intérêt de la population pour ce débat constitutionnel.
Le 7 août 1999, la nouvelle Assemblée constituante voit le jour. Elle a alors pour mandat de préparer une nouvelle constitution, afin de remplacer celle de 1961. Les 131 membres de l'Assemblée, la plupart sans aucune expérience politique, n'ont que trois mois pour la rédiger, ce qui est peu compte tenu de l'ampleur de la tâche. Pour la deuxième fois en un an, les Vénézuéliens ont à voter lors d'un référendum, cette fois pour l'adoption de cette nouvelle constitution.
Les principaux changements de la Constitution bolivarienne du Venezuela par rapport à l'ancienne constitution sont :
Le référendum du 15 décembre 1999 entérine la nouvelle constitution, le oui l'emportant avec 71,4% des voix. 55% de la population en droit de voter s'est présentée aux urnes.
Première réélection (2000)
Les élections générales promises par Chávez ont lieu le 30 juillet 2000. Chávez est réélu président avec 59,5% des voix. Le MVR remporte 76 des 165 sièges de l'Assemblée nationale, ainsi que les gouvernements de 12 des 23 États (régions administratives) du pays.
Dans les États de Merida et de Trujillo, l'armée doit intervenir, les gouverneurs sortants, soutenus par des manifestants, refusant d'accepter leurs défaites.
Le 10 août 2000, dans le cadre d'une tournée de l'OPEP (pays producteurs de pétrole), Chávez se rend en Irak pour une visite officielle. Il est le premier chef d'État à se rendre en Irak depuis la guerre du Golfe en 1990.
La polarisation du peuple vénézuélien
À la suite des attentats du 11 septembre 2001, les cours du pétrole brut s'effondrent. Cela provoque une crise économique au Venezuela, troisième exportateur mondial de pétrole. Le gouvernement, faute de moyens financiers, est aux prises avec des troubles sociaux. Le patronat accuse les réformes sociales d'être à l'origine de la crise du pays.
Le 10 décembre 2001, le patronat et les syndicats vénézuéliens appellent à une grève générale pour protester contre les mesures économiques d'Hugo Chávez. Cette grève paralyse le pays pendant plus de 12 heures. Des milliers de partisans du gouvernement se réunissent à Caracas, afin de soutenir le président, et écoutent un discours de Chávez vantant les mérites de ses mesures.
Cette grève et cette manifestation en faveur du gouvernement illustrent la polarisation du peuple vénézuélien.
D'un côté, la partie de la population avantagée par l'ancien système économique, notamment les personnes liées à l'industrie pétrolière, accusées, en premier lieu par Chávez, d'être corrompues. Ils jouissent de l'appui du patronat et des médias locaux, et sont très bien organisés.
De l'autre côté, la majorité de la population, qui vit sous le seuil de pauvreté (80% des Vénézuéliens), au profit de laquelle sont destinées les réformes du nouveau gouvernement. C'est cette majorité qui a porté Hugo Chávez à la présidence et qui continue de le soutenir.
Durant le mois de février 2002, trois officiers, le contre-amiral Carlos Molina Tamayo, le colonel Pedro Soto et le capitaine Pedro Flores, demandent tour à tour la démission du président et appellent la population au soulèvement. Hugo Chávez réplique dans un discours à la nation que « le Venezuela est engagé dans une lutte entre la vie et la mort, entre le passé et le futur ». Aucune mesure de sanction ne fut prise contre ces officiers, Chávez prônant une « absolue liberté d'expression ».
Le dimanche 7 avril, Chávez, en direct à la télé et avec un sifflet (voir les archives du programme Alo Presidente), met à la porte sept dirigeants de la Compagnie nationale des pétroles du Venezuela (PDVSA), et en force douze autres à prendre leur retraite. Mécontents, les cadres de la compagnie protestent, ce qui incite la principale centrale syndicale ouvrière du pays, la Confederacion de Trabajadores de Venezuela (Confédération des travailleurs du Venezuela, CTV), dans une
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