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  2. « PCF Â» redirige? ici. Pour les autres significations, voir PCF (homonymie). Pour les autres articles nationaux, voir Parti communiste.

    Le Parti communiste français (PCF) est un parti politique français de gauche, fondé en décembre 1920 au Congrès de Tours, lors de la scission de la SFIO. L'organe officiel du Parti a longtemps été le journal L'Humanité qui lui est désormais structurellement indépendant. Son siège est situé Place du Colonel-Fabien à Paris, dans un bâtiment de béton du célèbre architecte brésilien Oscar Niemeyer.

    Histoire du PCF

    Article détaillé : Histoire du parti communiste français.

    Le Congrès de Tours

    Le 30 décembre 1920, une majorité des militants socialistes de la SFIO réunis en congrès à Tours décident de s'affilier à l’Internationale communiste (également connue sous l’appellation « Komintern Â»), fondée en 1919 par Lénine à la suite de la Révolution russe. Le Parti communiste français, qu'on appelle alors Section Française de l'Internationale Communiste (SFIC), qui est ainsi créé accepte par conséquent de se soumettre aux conditions explicitement formulées par l'IC. Il s'engage à construire un parti révolutionnaire, qui peut utiliser des moyens légaux, mais qui aussi doit se doter d'un appareil clandestin et ne doit pas exclure l'action illégale. Le parti constitué doit être discipliné, suivant les règles du centralisme démocratique : les minoritaires doivent suivre la ligne décidée majoritairement, et n'ont pas le droit de s'organiser pour défendre leur tendance. Internationaliste, enfin, un parti national, comme le Parti Communiste français (PC) est d'abord une section de la troisième internationale. Le PC français ne s'appelle pas PCF mais SFIC (Section Française de l'Internationale Communiste). Ces principes de base vont sous-tendre toute la vie du PCF jusqu'à la dissolution officielle de l'IC en 1943, et même bien au-delà.

    Les premières années (1921-1933)

    Les premières années du jeune parti sont marquées à la fois par de nombreuses exclusions de membres fondateurs du parti (comme Boris Souvarine, Alfred Rosmer, Pierre Monatte, Albert Treint…), par la stalinisation du parti, ainsi que par un activisme militant illustré, par exemple, par des manifestations contre la guerre du Rif, en 1925, et plus généralement par l'antimilitarisme. L'arrestation et l'incarcération de courte durée est très fréquente, tant pour les militants que pour les dirigeants. En 1927, sur ordre de la direction du Komintern, la politique du parti se sectarise. On appelle cette politique "Classe contre Classe", elle exclut toute entente avec les partis dits « bourgeois Â», SFIO comprise. Le Parti qui avait obtenu 26 sièges aux élections de 1924 en perd la moitié aux élections de 1928.

    L'antifascisme, le Front Populaire et la guerre d'Espagne (1934-1939)

    Après la prise du pouvoir par Hitler, et les évènements de 1934 en France, l’Internationale communiste recommande une nouvelle ligne, moins sectaire. La lutte pour la direction du parti entre Jacques Doriot et un jeune rival, Maurice Thorez, aboutit en 1934 à l'éviction du premier qui crée son propre parti. Maurice Thorez, qui avait accédé à la direction dans la période précédente mettra en œuvre cette nouvelle ligne. Thorez est entouré d'une équipe constituée de Jacques Duclos, Benoit Frachon et du délégué du Komintern, Eugen Fried. L'équipe Thorez-Duclos-Frachon connaîtra une longévité exceptionnelle et dirigera pratiquement le parti français pendant une trentaine d'année.

    La Chambre de Députés élue en Mai 1936

    Le 10 janvier 1936, socialistes, communistes et radicaux se mettent d'accord sur un « programme commun Â». Au printemps, le Front populaire gagne les élections et le PC remporte 72 sièges avec 15% des voix. Le PC soutient le gouvernement Blum sans y participer. Début juin 1936, la direction du PC appelle à l’arrêt de la grève générale spontanée qui s’est déclenchée peu avant, et qui permettra l’obtention des congés payés. Sur le plan syndical, la CGTU, communiste, et la CGT dont elle avait fait scission après le congrès de Tours, fusionnent à nouveau.

    Les instances dirigeantes sont totalement subordonnées à l'IC, elle même complètement dominée par Staline et les autres dirigeants de l’État soviétique, mais cette subordination ne pose guère de problèmes à l'intérieur du parti français, tant est grand le prestige de l'URSS. De 1936 à 1939, le soutien aux républicains et aux staliniens espagnols représente une composante majeure du parti communiste français, tant par l'envoi de volontaires dans les Brigades Internationales que par la mise sur pied de puissants moyens matériels.

    La Seconde Guerre mondiale (1939-1944)

    En septembre 1939, après la déclaration de guerre et l'approbation par le Parti français de la signature du pacte germano-soviétique, Daladier imposera la mise hors la loi du PC. Il s'en suivra une scission au sein des élus du parti et une période de clandestinité : l'essentiel de la direction du parti est alors regroupée en Belgique, et, sur un ordre de Dimitrov, Maurice Thorez déserte et rejoint Moscou. Suivant les consignes du Parti, « Une heure de moins pour la production, c'est une heure de plus pour la révolution Â», certains militants commettent des sabotages dans les usines d'armements françaises pendant la Drôle de guerre.

    Réunion Clandestine de la direction du PCF à Lonjumeau en 1943,

    La clandestinité sera brièvement interrompue durant l'été 1940, pour demander en vain, via l'avocat communiste Robert Foissin, l'autorisation de faire reparaître L'Humanité aux autorités allemandes, puis se prolongera jusqu'à la Libération, en été 1944. Une partie des élus communistes fonde le Parti ouvrier et paysan français (POPF) qui regroupait les communistes partisans de la Collaboration (plus d'élus que de militants).

    Bien préparé à la résistance par la pratique de la clandestinité, le PC français s'engagera dans la lutte contre l'occupant à partir de juin 1941 lorsque les troupes d'Hitler envahissent l'URSS. Cependant, bien des militants ou des groupes locaux communistes, qui n'avaient pas tous cessé subitement en 1939 ou 1940 d'être antifascistes, s'étaient spontanément engagés dans la résistance, sans demander la permission du parti. On citera par exemple Auguste Havez et Marcel Paul dans l'ouest de la France, la grève des mines du Nord, en mai 1941, cf. Auguste Lecœur), et plusieurs exemples locaux.

    À partir de juin 1941, les différentes organisations rattachées de près ou de loin au mouvement communiste sont alors à même d'attirer un nombre important d'hommes et de femmes désireux de participer à la lutte contre l'occupant (en particulier le Front national et sa branche armée des Francs-tireurs et partisans (FTP)). La mouvance communiste devient importante au sein du Conseil national de la Résistance (CNR).

    À noter qu'en 1943, le Komintern est dissout et le parti français est désormais appelé PCF.

    L'après-guerre (1944-70)

    À la Libération, celui-ci est devenu une des principales forces politiques françaises qui recueillera jusqu'à 29 % des suffrages et qui a largement débordé ses bastions ouvriers pour être présent dans pratiquement tous les départements. De 1944 à 1947, des ministres communistes participent aux différents gouvernements.

    C'est en 1947 que sur un fond de guerre froide entre les deux blocs et de guerres coloniales dans l'empire français, les communistes français retourneront dans une opposition que certains qualifieront de ghetto, puisqu'au cours des dix années qui suivent, le PCF est le seul parti à rester à l'écart du pouvoir. Maurice Thorez, atteint d'hémiplégie, passe, entre 1950 et 1953 de longs séjours en URSS pour se faire soigner. Pendant ce temps, l'enthousiasme d'après-guerre qui avait rassemblé des Français d'horizons différents au sein du PCF se dissipe, créant des désaccords idéologiques au sein des militants; les exclusions sont alors nombreuses, menées principalement par Jacques Duclos (Tillon, Lecoeur, Marty…). Après la mort de Staline, en 1953, les dirigeants français renâclent à s'engager à la suite du parti soviétique dans la dénonciation des crimes de Staline, cette dernière étant indissociable de la condamnation de l'URSS, vue depuis la France. Le PCF reste ainsi fidèle à l'URSS dont il soutiendra en 1956 l'intervention militaire contre la révolte populaire en Hongrie.

    En 1956, le PCF suit une ligne d'« unité nationale Â» et vote, avec d'autres partis, les pouvoirs spéciaux à Guy Mollet — ce dernier

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