Rio de Janeiro est une mégapole située dans le sud-est du Brésil. C'est également la capitale de l'État de Rio de Janeiro. Avec ses 6,1 millions d'habitants intra-muros (communément appelés les Cariocas) et 11,35 millions dans l'aire urbaine, Rio de Janeiro est la deuxième plus grande ville du pays derrière São Paulo (capitale économique). Elle est mondialement connue pour son carnaval, ses plages (Copacabana et Ipanema) ainsi que sa statue Cristo Redentor (« Christ Rédempteur ») au sommet du Corcovado. Ancienne capitale brésilienne et européenne, elle est devenue un centre touristique et culturel par excellence.
Histoire
Avant le XVI siècle
Les Amérindiens furent les premiers habitants de la Baie de Guanabara. Les tribus Tamoyos et Tupinambas vivaient autour de ce lieu hautement prolifique. Les navigateurs de l'Ancien monde ont-ils volontairement ou par dérive atteint cet endroit? La réponse n'est pas simple et demande être étayée.
Au début du XIX siècle est mis jour une immense sculpture représentant un visage de type européen portant une longue barbe, gravée même la roche au sommet de la montagne Pedra da Gavea ceinturant et dominant la ville de Rio de Janeiro. Au cours de nombreuses expéditions archéologiques furent mis en évidence d'autres éléments de cette tête rocheuse visible des dizaines de kilomètres la ronde. Par la suite, furent découvertes des inscriptions phéniciennes sur la falaise surplombant cette sculpture : Badezir, Phénicien de Tyr, Fils aîné de JethBaal. Un roi phénicien du nom de Badezir ou Badezor, plus connu sous son nom phénicien de Baal-Ezer II fils aîné du roi de Tyr Eth Baal ou Ithobaal Ier régna effectivement sur la ville de Tyr vers 850 avant l'ère commune. L'étude archéologique de ce site est toujours d'actualité.
En 1982, l'épave d'une galère romaine ayant de nombreuses amphores dans sa soute, est découverte dans le fond de la Baie de Guanabara. Cela ne prouve pas que les Romains naviguaient et revenaient d'Amérique du Sud. Néanmoins, cela témoigne que les courants et les tempêtes peuvent drosser des navires depuis les côtes africaines vers le continent sud-américain.
La Rivière de Janvier (1502-1555)
Le site actuel de la ville de Rio de Janeiro fut découverte le 1 janvier 1502 par un explorateur italien au service du Portugal Amerigo Vespucci. Le nom de la ville fut le résultat d'une erreur commise par Vespucci lui-même. Étant au mois de janvier et pensant découvrir l'embouchure d'un fleuve ou d'une rivière, l'explorateur baptisa le site de la baie de Guanabara Rio de Janeiro (« Rivière de janvier » en français).
À cette époque, le site était habité par des Indiens Guarani qui commencèrent bientôt établir un commerce de troc avec les Portugais. Grâce la profusion d'arbres « couleur de braise », le « Pau Brasil » ou « brasa » (le brésil en français), un important commerce se développa. Les relations entre Indiens et Portugais n'étaient toutefois pas toujours pacifiques. Certaines tribus organisaient souvent des rites anthropophagiques et détenaient une technique permettant de rapetisser les têtes humaines la taille d'une balle de tennis. De plus, les Indiens commerçaient également avec les Français et les Hollandais qui portaient des visées coloniales au Brésil.
Rivalités et essor économique (1555-1763)
Durant le XVI siècle, de fréquentes attaques menées par les pirates et les flibustiers français et hollandais, alors ennemis du Portugal, ravagèrent une partie de la ville. En 1555, l'Amiral Villegagnon, ayant reçu le commandement de la flotte mise la disposition de Gaspard de Coligny par Henri II pour installer une colonie protestante au Brésil où les protestants français pourraient exercer librement leur religion, construisit le Fort-Coligny et s'installa sur la côte qu'il appela la France Antarctique.
Toutefois, Le Portugal, voulant empêcher tout prix quelconque établissement étranger sur son territoire, envoya un mercenaire, Mem de Sá, afin d'expatrier les Français, ce que celui-ci fit en moins de deux jours selon la légende. Mais les Français revinrent et, en 1564, après deux années de luttes entre les flottes des deux pays, Estácio de Sá, un neveu, fonda la ville telle qu'on la connaît aujourd'hui.
La victoire du chevalier portugais Estácio de Sá, 1 mars 1565, marque la fondation de la ville de « São Sebastião do Rio de Janeiro » (Saint Sébastien de la rivière de janvier) en l'honneur du roi Sébastien 1 de Portugal et du saint fêté le jour de sa naissance. Pendant plusieurs siècles, la petite bourgade fut connue sous le nom de São Sebastião au lieu de la seconde partie de son nom, utilisée plus communément de nos jours. Saint Sébastien qui reste le patron de la ville est fêté chaque année.
Vers la fin du XVI siècle, la couronne portugaise traita le village comme une position stratégique pour le transit atlantique des navires entre le Brésil, les colonies africaines et l'Europe. Plusieurs forteresses furent construites et une alliance fut convenue avec les tribus indigènes pour défendre les colonies des invasions. On fonda, par exemple, dans le voisinage de Rio, Niterói, afin de veiller la défense de la cité. Les quais de Rio et le Morro do Castello (colline du château, en français), dont le château imitait les châteaux fortifiés médiévaux, formèrent les premières grandes défenses de la ville. Rio de Janeiro était réellement menacé par les nombreuses invasions des flibustiers français et hollandais. La ville connut son essor pendant le XVIII siècle avec la découverte d'or et de diamants dans la région voisine du Minas Gerais vers 1720, devenant un site portuaire plus utile pour l'exportation des richesses que Bahia de Salvador. C'est donc pour des raisons logistiques que l'administration coloniale portugaise en Amérique s'établit en 1763 Rio qui devint la capitale du Brésil la place de Salvador de Bahia.
Une capitale européenne (1763-1821)
La ville demeura une capitale coloniale jusqu'en 1808. En raison de l'invasion des troupes de Napoléon au Portugal, la famille royale portugaise (le roi Jean VI, la reine Marie I et leur fils Pierre) et la plupart des nobles de Lisbonne fuirent au Brésil et s'installèrent Rio de Janeiro. La capitale du royaume portugais fut donc transférée de Lisbonne Rio de Janeiro, qui devint ainsi l'unique capitale européenne située l'extérieur du continent de l'Histoire. Le manque d'espace physique et de structure urbaine, permettant aux centaines de nobles portugais soudainement arrivés de se loger, fut comblé au départ par le renvoi des habitants de leur propre logement. Bien qu'ils retournèrent au Portugal en 1821, l'époque passée au Brésil ouvrit les ports commerciaux au marché britannique et éleva le Brésil au statut de royaume uni la couronne du Portugal.
La capitale de l'Empire du Brésil (1822-1888)
Le 7 septembre 1822, le prince régent Pierre Ier (qui deviendra plus tard Pierre IV du Portugal) proclama l'indépendance de l'Empire du Brésil et garda Rio de Janeiro comme capitale. La couronne restant entre les mains de la maison royale des Bragança, cet événement tenait plus du partage en deux de l'empire portugais que d'un véritable mouvement indépendant comme on pouvait en voir en Amérique du Sud la même époque. La monarchie, s'appuyant sur le peuple pour contrebalancer les riches latifundiaires brésiliens, devint constitutionnelle en 1824. En 1831, sous la pression des élites propriétaires, l'Empereur Pierre Ier abdique en faveur de son fils, alors âgé de cinq ans. Pierre II s'engagea dès les années 1850 lutter contre l'esclavage, dont il interdit l'importation. La culture du café prit de l'ampleur et augmenta l'importance des propriétaires terriens, notamment ceux de São Paulo. Sous son règne, Rio profita de développements majeurs en matière de gaz, de plomberie, de barrages hydroélectriques, de téléphone et de télégraphe. Continuant lutter contre l'esclavagisme, l'Empire proclama en 1871 que les enfants d'esclaves seraient désormais libres la naissance. L'esclavage brésilien fut donc condamné long terme. Cependant, la loi dite « Áurea » (loi d'or) de 1888 de la Princesse Isabelle, la fille de Pierre II, abolissant totalement l'esclavage au Brésil, souleva la résistance des propriétaires qui s'engagèrent alors dans une lutte armée pour renverser le régime. La libération des esclaves entraîna une importante migration depuis les campagnes vers les villes. La première favela (bidonville en français) de Rio fut construite sur les hauteurs du M
Site du Rio
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Rio de Janeiro est une mégapole située dans le sud-est du Brésil. C'est également la capitale de l'État de Rio de Janeiro. Avec ses 6,1 millions d'habitants intra-muros (communément appelés les Cariocas) et 11,35 millions dans l'aire urbaine, Rio de Janeiro est la deuxième plus grande ville du pays derrière São Paulo (capitale économique). Elle est mondialement connue pour son carnaval, ses plages (Copacabana et Ipanema) ainsi que sa statue Cristo Redentor (« Christ Rédempteur ») au sommet du Corcovado. Ancienne capitale brésilienne et européenne, elle est devenue un centre touristique et culturel par excellence.
Histoire
Avant le XVI siècle
Les Amérindiens furent les premiers habitants de la Baie de Guanabara. Les tribus Tamoyos et Tupinambas vivaient autour de ce lieu hautement prolifique. Les navigateurs de l'Ancien monde ont-ils volontairement ou par dérive atteint cet endroit? La réponse n'est pas simple et demande être étayée.
Au début du XIX siècle est mis jour une immense sculpture représentant un visage de type européen portant une longue barbe, gravée même la roche au sommet de la montagne Pedra da Gavea ceinturant et dominant la ville de Rio de Janeiro. Au cours de nombreuses expéditions archéologiques furent mis en évidence d'autres éléments de cette tête rocheuse visible des dizaines de kilomètres la ronde. Par la suite, furent découvertes des inscriptions phéniciennes sur la falaise surplombant cette sculpture : Badezir, Phénicien de Tyr, Fils aîné de JethBaal. Un roi phénicien du nom de Badezir ou Badezor, plus connu sous son nom phénicien de Baal-Ezer II fils aîné du roi de Tyr Eth Baal ou Ithobaal Ier régna effectivement sur la ville de Tyr vers 850 avant l'ère commune. L'étude archéologique de ce site est toujours d'actualité.
En 1982, l'épave d'une galère romaine ayant de nombreuses amphores dans sa soute, est découverte dans le fond de la Baie de Guanabara. Cela ne prouve pas que les Romains naviguaient et revenaient d'Amérique du Sud. Néanmoins, cela témoigne que les courants et les tempêtes peuvent drosser des navires depuis les côtes africaines vers le continent sud-américain.
La Rivière de Janvier (1502-1555)
Le site actuel de la ville de Rio de Janeiro fut découverte le 1 janvier 1502 par un explorateur italien au service du Portugal Amerigo Vespucci. Le nom de la ville fut le résultat d'une erreur commise par Vespucci lui-même. Étant au mois de janvier et pensant découvrir l'embouchure d'un fleuve ou d'une rivière, l'explorateur baptisa le site de la baie de Guanabara Rio de Janeiro (« Rivière de janvier » en français).
À cette époque, le site était habité par des Indiens Guarani qui commencèrent bientôt établir un commerce de troc avec les Portugais. Grâce la profusion d'arbres « couleur de braise », le « Pau Brasil » ou « brasa » (le brésil en français), un important commerce se développa. Les relations entre Indiens et Portugais n'étaient toutefois pas toujours pacifiques. Certaines tribus organisaient souvent des rites anthropophagiques et détenaient une technique permettant de rapetisser les têtes humaines la taille d'une balle de tennis. De plus, les Indiens commerçaient également avec les Français et les Hollandais qui portaient des visées coloniales au Brésil.
Rivalités et essor économique (1555-1763)
Durant le XVI siècle, de fréquentes attaques menées par les pirates et les flibustiers français et hollandais, alors ennemis du Portugal, ravagèrent une partie de la ville. En 1555, l'Amiral Villegagnon, ayant reçu le commandement de la flotte mise la disposition de Gaspard de Coligny par Henri II pour installer une colonie protestante au Brésil où les protestants français pourraient exercer librement leur religion, construisit le Fort-Coligny et s'installa sur la côte qu'il appela la France Antarctique.
Toutefois, Le Portugal, voulant empêcher tout prix quelconque établissement étranger sur son territoire, envoya un mercenaire, Mem de Sá, afin d'expatrier les Français, ce que celui-ci fit en moins de deux jours selon la légende. Mais les Français revinrent et, en 1564, après deux années de luttes entre les flottes des deux pays, Estácio de Sá, un neveu, fonda la ville telle qu'on la connaît aujourd'hui.
La victoire du chevalier portugais Estácio de Sá, 1 mars 1565, marque la fondation de la ville de « São Sebastião do Rio de Janeiro » (Saint Sébastien de la rivière de janvier) en l'honneur du roi Sébastien 1 de Portugal et du saint fêté le jour de sa naissance. Pendant plusieurs siècles, la petite bourgade fut connue sous le nom de São Sebastião au lieu de la seconde partie de son nom, utilisée plus communément de nos jours. Saint Sébastien qui reste le patron de la ville est fêté chaque année.
Vers la fin du XVI siècle, la couronne portugaise traita le village comme une position stratégique pour le transit atlantique des navires entre le Brésil, les colonies africaines et l'Europe. Plusieurs forteresses furent construites et une alliance fut convenue avec les tribus indigènes pour défendre les colonies des invasions. On fonda, par exemple, dans le voisinage de Rio, Niterói, afin de veiller la défense de la cité. Les quais de Rio et le Morro do Castello (colline du château, en français), dont le château imitait les châteaux fortifiés médiévaux, formèrent les premières grandes défenses de la ville. Rio de Janeiro était réellement menacé par les nombreuses invasions des flibustiers français et hollandais. La ville connut son essor pendant le XVIII siècle avec la découverte d'or et de diamants dans la région voisine du Minas Gerais vers 1720, devenant un site portuaire plus utile pour l'exportation des richesses que Bahia de Salvador. C'est donc pour des raisons logistiques que l'administration coloniale portugaise en Amérique s'établit en 1763 Rio qui devint la capitale du Brésil la place de Salvador de Bahia.
Une capitale européenne (1763-1821)
La ville demeura une capitale coloniale jusqu'en 1808. En raison de l'invasion des troupes de Napoléon au Portugal, la famille royale portugaise (le roi Jean VI, la reine Marie I et leur fils Pierre) et la plupart des nobles de Lisbonne fuirent au Brésil et s'installèrent Rio de Janeiro. La capitale du royaume portugais fut donc transférée de Lisbonne Rio de Janeiro, qui devint ainsi l'unique capitale européenne située l'extérieur du continent de l'Histoire. Le manque d'espace physique et de structure urbaine, permettant aux centaines de nobles portugais soudainement arrivés de se loger, fut comblé au départ par le renvoi des habitants de leur propre logement. Bien qu'ils retournèrent au Portugal en 1821, l'époque passée au Brésil ouvrit les ports commerciaux au marché britannique et éleva le Brésil au statut de royaume uni la couronne du Portugal.
La capitale de l'Empire du Brésil (1822-1888)
Le 7 septembre 1822, le prince régent Pierre Ier (qui deviendra plus tard Pierre IV du Portugal) proclama l'indépendance de l'Empire du Brésil et garda Rio de Janeiro comme capitale. La couronne restant entre les mains de la maison royale des Bragança, cet événement tenait plus du partage en deux de l'empire portugais que d'un véritable mouvement indépendant comme on pouvait en voir en Amérique du Sud la même époque. La monarchie, s'appuyant sur le peuple pour contrebalancer les riches latifundiaires brésiliens, devint constitutionnelle en 1824. En 1831, sous la pression des élites propriétaires, l'Empereur Pierre Ier abdique en faveur de son fils, alors âgé de cinq ans. Pierre II s'engagea dès les années 1850 lutter contre l'esclavage, dont il interdit l'importation. La culture du café prit de l'ampleur et augmenta l'importance des propriétaires terriens, notamment ceux de São Paulo. Sous son règne, Rio profita de développements majeurs en matière de gaz, de plomberie, de barrages hydroélectriques, de téléphone et de télégraphe. Continuant lutter contre l'esclavagisme, l'Empire proclama en 1871 que les enfants d'esclaves seraient désormais libres la naissance. L'esclavage brésilien fut donc condamné long terme. Cependant, la loi dite « Áurea » (loi d'or) de 1888 de la Princesse Isabelle, la fille de Pierre II, abolissant totalement l'esclavage au Brésil, souleva la résistance des propriétaires qui s'engagèrent alors dans une lutte armée pour renverser le régime. La libération des esclaves entraîna une importante migration depuis les campagnes vers les villes. La première favela (bidonville en français) de Rio fut construite sur les hauteurs du M
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RIO
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Option RIO
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RIO MAVUBA OFFICIAL WEB SITE
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Accueil Rio Grande
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Les estampes françaises d'après les peintres italiens contemporains (1655-1724)
www.e-stampe.comFiches signalétiques des dessinateurs, graveurs ou éditeurs destampes de cette période et bibliographie.
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L'enfant éléphant
vialupo.jcldb.comL'histoire d'un enfant éléphant plein d'une insatiable curiosité par Rudyard Kipling. En français et en anglais.
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Lettres de Napoléon à Joséphine
www.bmlisieux.comBibliothèque électronique de Lisieux.
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L'Amour est un Djebel
gmasd.free.frRoman autobiographique de Gabriel Massard sur la période de la guerre d'Algérie. Extraits en ligne, revue de presse et témoignages.
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Grangé, Jean-Christophe
rivieres.pourpres.free.frBiographie de l'auteur des "Rivières Pourpres", étude de ses romans et scénarios, actualité et liens.
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